Nell Flahertys Drake - Unknown

Nell Flaherty's Drake



Oh, my name it is Neil, quite candid I tell,

And I lived in Clonmell, which I'll never deny,

I had a large drake, and the truth for to speak,

My grandmother left me, and she going to die;

He was wholesome and sound; he weighed twenty pound,

And the universe 'round I would rove for his sake.

Bad luck to the robber, be he drunk or sober,

That murdered Nell Flaherty's beautiful drake.

His neck it was green, he was rare to be seen,

He was fit for a Queen of the highest degree,

His body so white, it would give you delight,

He was fat, plump and heavy, and brisk as a bee;

My dear little fellow, his legs, they were yellow,

He would fly like a swallow, and swim like a hake.

Until some wicked savage, to grease his white cabbage,

He murdered Nell Flaherty's beautiful drake.



May his pig never grunt, may his cat never hunt,

May a ghost always haunt him in the dead of the night,

May his hen never lay, may his ass never bray,

May his coat fly away like an old paper kite;

May the lice and the fleas the wretch ever tease,

May the pinching north breeze make him tremble and shake,

May a four-year-old bug build a nest in the Iug,

Of the monster that murdered Nell Flaherty's Drake.

May his cock never crow, may his bellows ne'er blow,

And a-pot or po, may he never have one,

May his cradle not rock, may his box have no lock,

May his wife have no smock to shield her back bone,

May his duck never quack, and his goose turn quite black

And pull down the turf with his long yellow beak.

May scurvy and itch, not depart from the breech,

Of the monster that murdered Nell Flaherty's Drake.



May his pipe never smoke, may his teapot be broke,

And to add to the joke may his kettle not boil,

May he lay in the bed 'till the moment he's dead

May he always be fed on lob-scouse and fish oil,

May he swell with the gout, may his grinders fall out,

May he roar, bawl and shout, with the horrid toothache.

May his temples wear horns, and all his toes corns,

The monster that murdered NeII Flaherty's drake.

May his spade never dig, may his sow never pig,

Every nit on his head be as large as a snall,

May his house have no thatch and his door have no latch,

Nay his turkey not hatch, may the rats eat his meal,

May every old fairy fiom Cork to Dunleary,

Dip him in snug and easy in some pond or lake,

Where the eel and the trout may slime in the snout,

Of the monster that murdered Nell Flaherty's Drake.



May his dog yelp and growl with hunger and cold,

May his wife always scold 'till his brain goes astray,

May the curse of each hag, that e'er carried a bag,

Alight on his nag till his beard it turns grey,

May monkeys still bite him, and man-apes affright him,

And everyone slight him asleep or awake,

May weasels still gnaw him, and jackdaws still claw him,

The monster that murdered Nell Flaherty's Drake.

Then all the good news l have to diffuse,

'Tis for Peter Hughes, and blind Peter McFree,

There's big nosed Bob Manson, and buck-toothed Ned Hanson,

Each man has a grandson of my darling Drake,

My bird he had dozens of nephews and cousins,

And one I must get or my heart it will break,

To keep my mind easy or else l'll run crazy,

So this ends the song of Nell Flaherty's Drake.



Recorded by Tommy Makem, Irish Songs of Rebellion

@Irish @rebel @animal @bird

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RG

===DOCUMENT BOUNDARY

Drake de Nell Flaherty



Oh, mon nom c'est Neil, assez franc je dis,

Et j'ai vécu à Clonmell, ce que je ne nierai jamais,

J'avais un gros drake, et la vérité pour parler,

Ma grand-mère m'a quittée et elle va mourir;

Il était sain et sain; il pesait vingt livres,

Et le tour de l'univers que je parcourais pour lui.

Pas de chance au voleur, qu'il soit ivre ou sobre,

Qui a tué le magnifique drake de Nell Flaherty.

Son cou était vert, il était rare d'être vu,

Il était apte à une reine du plus haut degré,

Son corps si blanc, il vous ferait plaisir,

Il était gros, dodu et lourd, et vif comme une abeille;

Mon cher petit bonhomme, ses jambes, elles étaient jaunes,

Il volerait comme une hirondelle et nagerait comme un merlu.

Jusqu'à ce qu'un méchant sauvage, pour graisser son chou blanc,

Il a assassiné le magnifique drake de Nell Flaherty.



Que son cochon ne grogne jamais, que son chat ne chasse jamais,

Qu'un fantôme le hante toujours au milieu de la nuit,

Puisse sa poule ne pondre jamais, que son cul ne braise jamais,

Que son manteau s'envole comme un vieux cerf-volant en papier;

Que les poux et les puces le misérable taquine jamais,

Puisse la brise du nord le faire trembler et le secouer,

Puisse un bug de quatre ans construire un nid dans l'Iug,

Du monstre qui a tué Drake de Nell Flaherty.

Que sa bite ne chante jamais, que son soufflet ne souffle jamais,

Et un pot ou un po, qu'il n'en ait jamais,

Que son berceau ne bascule pas, que sa boîte n?ait pas de serrure,

Que sa femme n'ait pas de blouse pour se protéger l'os du dos,

Puisse son canard ne jamais charlatan et son oie devenir tout noir

Et abattez le gazon avec son long bec jaune.

Peut scorbuter et démanger, ne pas s'écarter de la culasse,

Du monstre qui a tué Drake de Nell Flaherty.



Que sa pipe ne fume jamais, que sa théière soit brisée,

Et pour ajouter à la blague, sa bouilloire ne peut pas bouillir,

Puisse-t-il s'allonger sur le lit jusqu'au moment de sa mort

Puisse-t-il toujours se nourrir d'huile de rat et de poisson,

Qu'il gonfle de goutte, que ses moulins tombent,

Puisse-t-il rugir, brailler et crier, avec le mal de dents horrible.

Que ses tempes portent des cornes et tous ses orteils cors,

Le monstre qui a tué le canard de NeII Flaherty.

Que sa bêche ne creuse jamais, que sa truie ne se cochon jamais,

Chaque nit sur sa tête soit aussi gros qu'un snall,

Puisse sa maison sans chaume et sa porte sans loquet,

Que sa dinde n'éclos pas, que les rats mangent son repas,

Que chaque vieille fée de Cork à Dunleary,

Trempez-le confortablement dans un étang ou un lac,

Où l'anguille et la truite peuvent se boucher dans le museau,

Du monstre qui a tué Drake de Nell Flaherty.



Que son chien jappe et grogne de faim et de froid,

Que sa femme gronde toujours jusqu'à ce que son cerveau s'égare,

Que la malédiction de chaque sorcière, cet e'er portait un sac,

Descendre sur son bourrin jusqu'à ce que sa barbe devienne grise,

Que les singes le mordent encore, et les singes-hommes l'effrayent,

Et tout le monde l'a endormi ou éveillé,

Que les belettes le rongent encore, et les choucas le griffent toujours,

Le monstre qui a tué Drake de Nell Flaherty.

Alors toutes les bonnes nouvelles que je dois diffuser,

C'est pour Peter Hughes et pour l'aveugle Peter McFree,

Il y a Bob Manson au grand nez et Ned Hanson aux dents abruptes,

Chaque homme a un petit-fils de mon chéri Drake,

Mon oiseau, il avait des dizaines de neveux et cousins,

Et celui que je dois obtenir ou mon c?ur se brisera,

Pour garder mon esprit tranquille sinon je vais devenir fou,

Cela met donc fin à la chanson de Drake de Nell Flaherty.



Enregistré par Tommy Makem, Irish Songs of Rebellion

@Irish @rebel @animal @bird

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RG

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